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L’espérance de vie ne cesse de progresser en France
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Le 28 mars, l’Institut national d’études démographiques (INED) a publié les chiffres issus de son portrait de la population française.
Un chiffre attire principalement l’attention : l’espérance de vie des femmes.
Entre 1994 et 2002, elle se portait à 83,7 ans.
En 2007, elle culmine à 84,5 ans, ce qui représente un bond de 4 mois en un an.
L’espérance de vie des hommes progresse également, mais dans une moindre mesure, pour se situer à 77,6 ans.
Les centenaires sont majoritairement des femmes.
Passé 100 ans, on compte en moyenne un homme pour quatre femmes.
En 2005, l’Ined avait déjà évoqué l’hypothèse d’un « contrecoup positif durable de la canicule » qui avait tué 15.000 personnes en 2003.
Suite à cette canicule, qui avait permis d’attirer l’attention sur l’isolement des personnes âgées sur le territoire français, de nombreux dispositifs d’accompagnement avaient été mis en place, pour veiller sur cette catégorie de population fragile.
Cet accompagnement et les progrès permanents de la médecine expliquent en grande partie la courbe ascendante de l’espérance de vie en France.
Pour ces mêmes raisons, les « supercentenaires » (personnes âgées de plus de 110 ans) sont eux aussi de plus en plus nombreux et la part d’entre eux qui reste valide (mobile, autonome ou quasi-autonome) est croissante.
Selon les estimations de l’Ined, alors qu’il n’y avait que 200 centenaires en 1950, puis 3.700 en 1990 et 20.000 aujourd’hui, ils devraient être 30.000 en 2030, puis plus de 60.000 en 2050...
Il semble donc important de prévoir dès maintenant la façon dont seront pris en charge les nombreux français qui seront amenés à vivre ce quatrième âge, notamment en terme de prise en charge de la dépendance.
Un chiffre attire principalement l’attention : l’espérance de vie des femmes.
Entre 1994 et 2002, elle se portait à 83,7 ans.
En 2007, elle culmine à 84,5 ans, ce qui représente un bond de 4 mois en un an.
L’espérance de vie des hommes progresse également, mais dans une moindre mesure, pour se situer à 77,6 ans.
Les centenaires sont majoritairement des femmes.
Passé 100 ans, on compte en moyenne un homme pour quatre femmes.
En 2005, l’Ined avait déjà évoqué l’hypothèse d’un « contrecoup positif durable de la canicule » qui avait tué 15.000 personnes en 2003.
Suite à cette canicule, qui avait permis d’attirer l’attention sur l’isolement des personnes âgées sur le territoire français, de nombreux dispositifs d’accompagnement avaient été mis en place, pour veiller sur cette catégorie de population fragile.
Cet accompagnement et les progrès permanents de la médecine expliquent en grande partie la courbe ascendante de l’espérance de vie en France.
Pour ces mêmes raisons, les « supercentenaires » (personnes âgées de plus de 110 ans) sont eux aussi de plus en plus nombreux et la part d’entre eux qui reste valide (mobile, autonome ou quasi-autonome) est croissante.
Selon les estimations de l’Ined, alors qu’il n’y avait que 200 centenaires en 1950, puis 3.700 en 1990 et 20.000 aujourd’hui, ils devraient être 30.000 en 2030, puis plus de 60.000 en 2050...
Il semble donc important de prévoir dès maintenant la façon dont seront pris en charge les nombreux français qui seront amenés à vivre ce quatrième âge, notamment en terme de prise en charge de la dépendance.
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