La crise et la réassurance

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La réassurance apparaît de plus en plus comme une source de financement alternative pour les assureurs.

La conjoncture actuelle avec le retour de l’inflation, une sinistralité en hausse, la baisse des produits financiers et le renchérissement du coût du capital contribue à rendre la réassurance de plus en plus attractive.

Le marché mondial de la réassurance représente 4,3% de celui de l’assurance mondiale et il a été stable en 2007.

A l’heure actuelle, le prix du risque et donc du capital est plus élevé : la réassurance se positionne donc comme une forme alternative de financement pour les assureurs.

Après deux années assez calmes en terme de sinistralité, la tendance est entrain de s’inverser ce qui veut dire que les prix de l’assurance directe vont augmenter. En même temps, l’inflation va renchérir mécaniquement le coût des sinistres.

C’est pourquoi les réassureurs veulent une stabilisation des tarifs afin de mettre un terme à une érosion des tarifs constatée depuis trois ans.

Il semblerait que les assureurs ne cherchent plus à céder pour préserver leur chiffre d’affaires mais les réassureurs affirment ne pas courir après les volumes et pratiquer une politique de souscription sélective afin d’apporter des solutions de gestion du capital.

A suivre…  

Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. Aucun versement de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier, avant l’obtention d’un ou de plusieurs prêts d’argent. La diminution du montant des mensualités entraine l'allongement de la durée de remboursement et majore le coût total du crédit. La réduction dépend de la durée restante des prêts rachetés.