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Vous vous souciez de la préservation de l’environnement et vous avez de capitaux à placer... Comment allier écologie et économie ?
Voici des renseignements sur les placements à caractère écologique et leur rentabilité...

L’expansion des secteurs d’activité engagés dans la protection de l’environnement est effective depuis plusieurs mois déjà.
Elle se voit maintenant décuplée, en raison des nouvelles orientations du gouvernement français définies lors du Grenelle de l’environnement qui s’est tenu en octobre 2007.
Cette situation risque d’autant plus de durer que le cours du pétrole ne cesse d’augmenter...

De même, en raison d’une croissance démographique permanente (augmentation de la population), d’autres secteurs d’activité sont d’avantage sollicités. C’est le cas, notamment, des stations d’épuration ou tournées de recyclage, dont la gestion a été confiée à des sociétés privées.

Investir votre épargne dans les secteurs d’activité écologique peut donc être fortement rentable !
Pour exemple, sur l’année passée, l’indice boursier des sociétés productrices d’électricité éolienne ou solaire a progressé de 30% et celui des sociétés de gestion d’eau potable de 17%.

Plusieurs options se présentent à vous, selon le degré de risque que vous êtes prêts à prendre :

• Les fonds en euros :

Si vous êtes d’un naturel prudent, vous pouvez opter pour un investissement sur fonds en euros. Dans ce cas, il sera sécurisant d’investir à la fois dans les énergies propres, la gestion de l’eau et le recyclage des déchets, c'est-à-dire dans les trois principaux secteurs d’activité écologique.

• Les obligations :

Uniquement si vous êtes un particulier (en application de la Loi Epos II) vous pouvez acheter des obligations dans les secteurs d’activité écologique. Elles offrent la garantie de récupérer le capital de départ au terme de cinq années de placement et sont soumises à une rémunération minimum de 1% par an.

De plus, au terme de la 5ème année, un taux de progression de 80% de la hausse de l’indice de référence FTSE4GOOD (regroupement des actions de 40 entreprises européennes suivant une politique de « préservation active ») est appliqué à votre mise initiale.
Ici aussi, vous pouvez miser sur les trois principaux secteurs d’activité écologique.

• Les certificats :

Plus simples que les actions en direct et généralement plus rentables que les fonds en euros, les certificats sont le reflets d’un panier d’actions appartenant à un même secteur.
Ils ne sont soumis à aucun frais d’entrée et leurs frais de gestion sont raisonnables (entre 0,4 et 1,25% par an). Leur durée de vie est limitée entre 2 et 7 ans.

Les certificats sont cotés en continu à la bourse de Paris. Il vous suffit donc de passer un ordre auprès d’un courtier ou de votre banque pour leur achat ou leur revente.
Les trois principaux secteurs d’activité écologique vous sont également recommandés dans le cadre d’achat de certificats.

Si vous revendez vos certificats à échéance, vos gains seront exonérés de la taxe de 27% (à condition que le montant des cessions de l’année, toutes valeurs mobilières confondues, soit inférieur à 20 000 euros).
Si vous les revendez avant échéance, vos gains seront soumis à l’impôt sur le revenu.

• Les actions :

Si vous êtes suffisamment sûr de vous-même pour miser sur l’achat d’actions, il vous est conseillé de vous limiter aux secteurs de l’eau et du recyclage, moins risqués que les énergies nouvelles. En effet, ces dernières restent liées au cours du pétrole (dont il est toujours possible d’envisager une baisse) et au prix du silicium (matière première pour la fabrication de panneaux solaires).

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à contacter votre conseillé @ssursite.