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Avantage au sexe féminin
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Pour savoir pourquoi, grâce à l’assurance automobile, les femmes peuvent enfin trouver un point positif à la discrimination selon le sexe...
Une directive européenne adoptée en 2004 interdit toute discrimination entre les femmes et les hommes dans l’accès et la fourniture de biens et de services.
Pourtant , les femmes sont particulièrement courtisées par les assureurs.
Et pour pouvoir continuer leur jeu de séduction, ces derniers ont longuement fait pression sur le parlement européen afin de faire accepter une exception uniquement applicable en matière d’assurance automobile.
En effet, appliquer les mêmes primes d’assurance aux hommes et aux femmes, dans un secteur d’activité aussi concurrentiel que celui de l’assurance automobile, consiste à renoncer à la conquête des automobilistes les plus rentables : les femmes.
Selon l’observatoire de la sécurité routière, plus de 90% des conducteurs en état d’ivresse impliqués dans un accident corporel ou mortel sont des hommes.
Les hommes ont certes 6% d’accidents en moins que les femmes, mais l’ampleur des dégâts que doivent couvrir les assureurs n’est pas la même :
- Les femmes ont le plus souvent de petits accrochages, à faible vitesse, au volant de petites citadines.
- Les hommes, en revanche, empruntent plus souvent les autoroutes, avec des voitures plus puissantes.
Le coût des réparations et donc plus élevé en cas d’accident impliquant un homme qu’une femme (+19%).
C’est forts de ces chiffres (entre autres) que les assureurs automobile ont obtenu l’autorisation de procéder à une discrimination lors de l’élaboration des contrats d’assurance automobile et l’inscription de cette exception dans le texte de loi européen.
Mesdames, certains assureurs vous feront profiter d’une prime d’assurance automobile réduite de moitié, dans le souci de vous faire payer le prix juste, par rapport aux risques réellement couverts.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à poser vos questions dans la rubrique « contact ».
Une directive européenne adoptée en 2004 interdit toute discrimination entre les femmes et les hommes dans l’accès et la fourniture de biens et de services.
Pourtant , les femmes sont particulièrement courtisées par les assureurs.
Et pour pouvoir continuer leur jeu de séduction, ces derniers ont longuement fait pression sur le parlement européen afin de faire accepter une exception uniquement applicable en matière d’assurance automobile.
En effet, appliquer les mêmes primes d’assurance aux hommes et aux femmes, dans un secteur d’activité aussi concurrentiel que celui de l’assurance automobile, consiste à renoncer à la conquête des automobilistes les plus rentables : les femmes.
Selon l’observatoire de la sécurité routière, plus de 90% des conducteurs en état d’ivresse impliqués dans un accident corporel ou mortel sont des hommes.
Les hommes ont certes 6% d’accidents en moins que les femmes, mais l’ampleur des dégâts que doivent couvrir les assureurs n’est pas la même :
- Les femmes ont le plus souvent de petits accrochages, à faible vitesse, au volant de petites citadines.
- Les hommes, en revanche, empruntent plus souvent les autoroutes, avec des voitures plus puissantes.
Le coût des réparations et donc plus élevé en cas d’accident impliquant un homme qu’une femme (+19%).
C’est forts de ces chiffres (entre autres) que les assureurs automobile ont obtenu l’autorisation de procéder à une discrimination lors de l’élaboration des contrats d’assurance automobile et l’inscription de cette exception dans le texte de loi européen.
Mesdames, certains assureurs vous feront profiter d’une prime d’assurance automobile réduite de moitié, dans le souci de vous faire payer le prix juste, par rapport aux risques réellement couverts.
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Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. Aucun versement de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier, avant l’obtention d’un ou de plusieurs prêts d’argent. La diminution du montant des mensualités entraine l'allongement de la durée de remboursement et majore le coût total du crédit. La réduction dépend de la durée restante des prêts rachetés.
