Depuis deux ans, l’assurance-vie est malmenée par des taux d’intérêts faibles et pourtant il semblerait que ce soit toujours le placement préféré des français.
Les espérances de rendement sont plutôt faibles et les français l’ont bien compris : en 2012, l’assurance-vie qui drainait les ¾ de l’épargne des ménages, n’en draine plus qu’1/4.
C’est la crise de la dette des pays de la zone euro qui est responsable de la forte baisse des taux d’intérêts.
Parallèlement, on a observé une hausse des rachats de contrats car la forte baisse des taux a réduit pour les épargnants leurs sources de revenus financiers.
Il ne faut pas oublier que le rendement annuel de l’assurance-vie n’est pas son seul intérêt et qu’elle présente d’autres atouts.
L’assurance-vie permet en effet de transmettre à la personne que l’on veut ce que l’on veut, tout en conservant la jouissance des biens et en préservant les droits des héritiers réservataires.
Il est donc possible de choisir la proportion des capitaux décès qui peut revenir à chacun des bénéficiaires.
Il est également possible de transmettre ses biens sur deux générations avec une fiscalité plus avantageuse.
L’assurance-vie est un très bel outil de transmission du patrimoine, il est également l’un des seuls placements à permettre une large diversification des placements inclus dans l’enveloppe globale.
En fonction de son appétence au risque, chaque épargnant peut faire vivre son épargne : fonds sécuritaires, actions en direct, SCPI…
Enfin, l’avantage fiscal de l’assurance-vie est toujours intéressant : pour toute souscription avant 70 ans, il permet d’offrir un abattement de 152 500 euros par bénéficiaire.
Il est aussi possible de faire des rachats tout en profitant d’abattements pour les contrats d’assurance-vie souscrits il y a plus de huit ans.
Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.
Aucun versement de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier, avant l’obtention d’un ou de plusieurs prêts d’argent.
La diminution du montant des mensualités entraine l'allongement de la durée de remboursement et majore le coût total du crédit. La réduction dépend de la durée restante des prêts rachetés.